Les films programmés

Hommages

Valeria Bruni Tedeschi

Rétrospectives

Max Linder

Découverte

Le nouveau cinéma chilien

Centenaire du cinéma indien

Animation

La peinture animée

Braquage

« Il faut débarrasser la peinture de sa dernière contrainte : l’immobilité. » Cette proposition, sans appel, du peintre Léopold Survage, au sujet de ses essais de « rythmes colorés » (projet de film peint, non abouti, initié en 1913) annonce le bouleversement que le cinéma va engendrer dans les pratiques picturales. Héritière des lanternes magiques et de ces spectacles de vues peintes sur des supports transparents, la projection cinématographique va elle aussi utiliser la couleur peinte sur support dès les tout débuts du cinématographe : danseuses serpentines, fresques historiques, films à trucs seront coloriés image par image sur les motifs filmés visibles sur la pellicule.

D'hier à aujourd'hui

Des films restaurés ou réédités, présentés en avant-première

Ici et ailleurs

Longs métrages

Les films inédits et en avant-première présentés cette année à La Rochelle accompagnés d’une notice biographique de leurs réalisateurs.

Courts métrages

Les courts métrages inédits présentés cette année à La Rochelle accompagnés d’une notice biographique de leurs réalisateurs.

Crossing Borders / À la frontière #4

Un programme européen de 7 films courts par l’Agence du court métrage.
La collection Crossing Borders / À la frontière souhaite mettre en avant de nouvelles formes cinématographiques, en mêlant différentes techniques de narration tout en s’affranchissant des frontières inhérentes à un genre ou à l’identité culturelle de l’auteur. Cette double barrière franchie, les programmes de la collection Crossing Borders / À la frontière ouvrent le regard du spectateur à un nouvel horizon cinématographique européen virtuose, surprenant et sans cesse renouvelé. Ce quatrième programme enrichit la collection de sept nouveaux films et assure la représentativité et l’alternance des genres cinématographiques ainsi que des pays membres de l’Union européenne.

Musique et cinéma

Christine Ott et Torsten Böttcher

Pour le 41e Festival International du Film de La Rochelle, Christine Ott, en collaboration avec Torsten Böttcher, composera une nouvelle partition sur le film Nanouk l’Esquimau qu’elle accompagnera en ciné-concert, après avoir fait de même sur Tabou de F.W. Murnau en 2012. De la musique contemporaine à l’opéra, en passant par la musique de film, l’improvisation, la poésie et le théâtre, la danse, la chanson française ou le rock, Christine Ott s’est produite comme ondiste soliste au sein de nombreuses expériences musicales: avec Yann Tiersen en tournées internationales, aux côtés de Radiohead, Syd Matters, Tindersticks, Raphelson, Mobiil, Noir Désir, Loïc Lantoine et bien d’autres. Elle participe à de nombreux festivals de musique classique et en 2006, elle est choisie pour représenter les Ondes Martenot lors du premier Festival de Musique Électronique à Budapest, en Hongrie. Après des années de collaborations avec de nombreux artistes de la scène pop-rock, elle va s’orienter vers la composition, avec la parution de son album « Solitude Nomade » en avril 2009 et vers la musique de film. Là aussi, ce sont de belles complicités qui démarrent avec Yann Tiersen en 2001, avec sa participation à la BO du film Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet, puis les occasions se succèdent, avec des réalisateurs tels que Tony Gatlif, ou encore Claire Denis, Martin Provost, etc. En 2001, elle réalise la B.O. du film de Roland Edzard, La Fin du silence.

Elle présente son premier ciné-concert en 2012 sur le film muet Tabou (1931) de F.W. Murnau. Sa direction musicale est toujours guidée par l’envie constante de partager sa passion pour son instrument, et pour l’exploration et la sculpture sonore. Le Festival de La Rochelle lui a commandé la création de l’accompagnement musical de Nanouk l’Esquimau.

Torsten Böttcher, interprète de musique du monde et artiste sonore, s’est toujours intéressé aux instruments et aux sons exotiques, tels que le didgeridoo, les chants de gorge diphoniques et chamaniques d’Asie centrale, les flutes autochtones… En 2003, il découvre le Hang, une sculpture sonore unique, semblable à une soucoupe volante, faite à la main et conçue en 2000 par deux artistes suisses. Le Hang permet une grande variété de sons et de techniques : de mélodies enjouées – entre la harpe, le gong et le xylophone – jusqu’aux sons de percussion dans la lignée du tabla ou du ghatam d’Inde. Au fil des années, Torsten a collaboré avec les meilleurs interprètes de musique du monde, parmi lesquels figurent Ganga Giri, Kailash Kokopelli, Hun Huur Tu, ainsi qu’avec des musiciens de jazz et des orchestres.

Avec le soutien de la SACEM et de l’ADAMI

French Cowboy & The One

French Cowboy & The One est une version alternative de French Cowboy né sur les cendres du groupe vendéen The Little Rabbits. Imprégnée par une large culture pop rock allant de Pulp à Yo la Tengo, baignée d’americana, leur musique trace une route têtue et personnelle dans le paysage du rock français. French Cowboy & The One a sorti récemment un album sous le même nom (avril 2013 – Havalina Records) qu’ils joueront à La Sirène lors d’un concert et dans le cadre du Festival.

Avec le soutien de l’ADAMI

Nuit blanche Trains et cinéma

Programmation enfants

Films pour enfants

Hommage à Folimage

Film produits par le festival