Les oeuvres méconnues des maîtres du cinéma japonais

Nous savons depuis longtemps que trois grands arbres vénérables, qui ont nom Mizo-guchi, Ozu et Kurosawa (en y ajoutant deux pousses de bambou plus jeunes : Oshima et Imamura) cachent à nos yeux l'immense forêt du cinéma japonais. Peu à peu défri-chée — et déchiffrée —, cette forêt recèle des variétés peu exportées ou inconnues...

Lire la suite du texte "Visions fugitives dans une épaisse forêt", écrit par Max Tessier