Susan Gilvray croit apercevoir dans son jardin, l’ombre d’un rôdeur. La police locale envoie deux agents en patrouille. Rapidement, une étrange complicité s’instaure entre l’épouse, un peu délaissée d’un animateur de radio, et l’un des inspecteurs, Webb Garwood…
« Le Rôdeur représente une manière de point extrême dans l’intériorisation de l’intrigue et la peinture de l’ambiguïté du héros « noir ». Pris au piège d’un rêve de réussite et de conformisme, les personnages sont à la fois ceux d’un genre et ceux d’un cinéaste qui, déjà, éblouissait par sa maîtrise. »
Christian Viviani, Positif, décembre 1999