Le 26 mai 1828, sur la grand-place de Nuremberg, un étrange jeune homme, sale, illettré, marchant et parlant avec beaucoup de difficultés, semble surgir de nulle part. Il peut à peine écrire son nom : Kaspar Hauser. Enfermé au château de Nuremberg, il est observé comme une bête curieuse. Chacun s’interroge sur sa véritable identité…
Dans ce film magnifique, Herzog s’attache à un personnage, sans origines, qui avait, à son époque, fasciné l’Europe et inspiré, entre autres, Paul Verlaine : La Chanson de Gaspar Hauser – Sagesse, 1880.