Le prétendu comte Karamzin, mène la grande vie à Monte-Carlo, en compagnie des « princesses » Olga et Vera Petznikoff. Ils se font passer pour des aristocrates russes émigrés dans le but de monter quelques escroqueries. Leur prochaine victime sera Helen, la femme de l’ambassadeur des États-Unis…
« Cette version est une splendeur : drames de l’amour et de la trahison, passions et mensonges, Monte-Carlo mythique des années folles, outrance et pathos à tous les étages de ce palace baroque. Avec comme point fixe du délire foisonnant créé par Stroheim metteur en scène, le jeu implacable de Stroheim acteur. Et le cinéma en train de s’inventer… »
Jean-Michel Frodon, Le Point, 4 mars 1985