Thierry Labelle, Pierre Concha, Annick Concha
Dans un pays où règne un régime dictatorial, des résistants, malgré les arrestations et la torture, rivalisent de courage et d’ingéniosité pour rétablir la liberté.
Prix du Jury œcuménique Cannes 1993
« Libera me est un film muet. Car l’indiscutable se tait. Sept ans après Thérèse, Alain Cavalier proscrit l’extérieur, le travelling, la parole. Et libère un cinéma qui s’évade des écoles. Lumineux manifeste d’un homme modeste, Libera me choque, hante et bouleverse. […] Il jaillit d’une mémoire collective de l’Occupation, des guerres coloniales, des juntes militaires. De leur collage dans notre imaginaire. »
Sophie Grassin, L’Express, 11 novembre 1993