Afin d’échapper à la guerre, Sam Ali, un jeune Syrien sensible et impulsif, fuit son pays pour le Liban. Pour se rendre en Europe, il accepte de se faire tatouer le dos par l’artiste contemporain le plus sulfureux au monde. En transformant son corps en une prestigieuse œuvre d’art, Sam finira toutefois par découvrir que sa décision s’est faite au prix de sa liberté.
« Très bien interprété, L’Homme qui a vendu sa peau exploite parfaitement les ellipses pour développer son intrigue et se déploie dans un style visuel jouant fortement sur les contrastes […]. Un emballage presque étrange qui reflète néanmoins avec justesse les troublants et cruels paradoxes d’un système où « tout a un prix », y compris l’humain, et où se nouent les enjeux du combat pour la liberté. »
Fabien Lemercier, cineuropa.org, 5 septembre 2020