Dans l’univers coloré d’une galerie marchande, employés et clients ne vivent que d’amour : ils le rêvent, le chantent, le dansent. Les histoires s’entremêlent, commentées par les chœurs malicieux des shampouineuses et d’une bande de garçons désœuvrés.
« Golden Eighties est un film enchantant. Très vite les pieds vont s’incliner pour laisser la place à un bel organe : la voix. Un précipité inédit des plus belles tessitures du cinéma français. À commencer par Delphine Seyrig – sa gravité à prononcer des choses simples, sa simplicité à affirmer des choses graves. »
Xavier Villetard, Libération, 26 juin 1986