Nous sommes à Dublin, chez les vieilles demoiselles Morkan, pour une soirée à la veille de 1904. Derrière la gaieté et l’insouciance, se dévoilent peu à peu les personnages, leur mélancolie, jusqu’à ce que la ronde s’arrête sur le couple de Gabriel et Gretta…
« Ainsi donc, c’est avec Joyce que se sera terminée la fréquentation des grands écrivains commencée il y a quarante six ans avec Hammett et poursuivi avec Traven, McCullers, Williams, Kipling ou O’Connor, sans que les origines littéraires de ces scénarios, ne viennent frapper d’académisme l’œuvre achevée. »
Michel Ciment, Positif, octobre 1987