Le metteur en scène Fred Amiel, la star Georgia Lorrison et le scénariste James Lee Bartlow, sont réunis par un vieil ami, Pebbel, pour écouter la proposition du producteur Jonathan Shields. Ruiné, ce dernier leur demande de l’aider à reconquérir sa place à Hollywood. Ils se souviennent de leurs débuts difficiles, des moments de joie mais aussi de la manière dont Jonathan s’est mal conduit avec chacun d’eux. Quand Pebbel leur propose de travailler à nouveau pour Shields, ils refusent ; puis, ensorcelés, ils écoutent au téléphone la voix de Jonathan Shields…
Les Ensorcelés
Vincente Minnelli
États-Unis — 1952 — 115 min — 35 mm — noir et blanc
Titre original The Bad and the Beautiful Scénario Charles Schnee, d’après une histoire de George Bradshaw
Image Robert Surtees
Musique David Raksin
Montage Conrad A. Nervig
Decors Edwin B. Willis, Keogh Gleason
Interpretation Lana Turner (Georgia Lorrison), Kirk Douglas (Jonathan Shields), Walter Pidgeon (Harry Pebbel), Dick Powell (James Lee Bartlow), Barry Sullivan (Fred Amiel), Gloria Grahame (Rosemary Bartlow), Gilbert Roland (Victor "Gaucho" Ribera)
Production MGM