François retrouve son copain d’enfance, Léo. Par nostalgie, ils décident de débarquer chez le « Kuntch », leur souffre douleur de colonie de vacances. Mais il est absent. Ils improvisent alors n’importe quoi et kidnappent sa très belle femme, Hélène. Poursuivie avec ses ravisseurs par les sbires de son mari, Hélène ne sait plus trop où elle en est…
« La manière dont Stévenin traite le son, la sonorité étouffée des paroles, en contraste avec la grandiose netteté des montagnes est fantastique. C’est comme un éclairage indirect et d’autant plus révélateur sur le désarroi des pauvres héros. Le film est beau, il est râpeux et drôle, tendre et bouleversant, comme une chanson de Brel. »
Colette Godard, Le Monde, 29 octobre 1986