À la suite d’un malentendu, Inuk, un inuit, tue un missionnaire et s’enfuit dans les vastes étendues du Grand Nord. Il est arrêté peu après par deux policiers canadiens. En route, l’un des policiers meurt de froid. Inuk sauve le second d’une mort certaine. Une ébauche de compréhension s’installe alors entre les deux hommes…
« Les Dents du diable est un film poétique à force d’être prosaïque. »
Claude de Givray, Arts, 21 septembre 1960