Léonard vend des lampions et autres farces et attrapes. Les extravagances de sa femme Bernardine et de l’amant de celle-ci, Tancrède, l’ont conduit à la ruine. Après avoir tenté, maladroitement, de faucher le sac à main d’une jolie voyageuse dans un compartiment de train, il est poussé par Tancrède à faire un coup…
« Il semble difficile à première vue de classer cette œuvre dans une catégorie déjà connue, tant le sujet tranche avec ce qui a déjà été fait jusqu’alors. C’est un curieux mélange de comique, de burlesque et de fantaisie poétique. Et pour la première fois, croyons-nous, il nous est donné à voir les petits métiers. »
J. L., L’Illustration, 11 septembre 1943