Nous avons le plaisir de vous dévoiler l’affiche de la 52e édition du Fema et la rétrospective qui a inspiré cette peinture à Stanislas Bouvier.
« Lancée très jeune tambour battant sur les plateaux de tournage sous la poigne de fer d’une mère tyrannique et ambitieuse, Natalie Wood connaitra le destin tragique d’une héroïne de cinéma, intimement lié à sa vie personnelle, où la fiction sur l’écran reflète les tourments de la passion et les rêves d’amour brisés sur les rivages d’une réalité cruelle et sans visage.
L’affiche de cette année rend hommage à cette grande amoureuse au regard d’enfant, qui fut aussi la Maria de West Side Story et l’inoubliable Prisonnière du désert, figure éblouissante et profondément touchante magnifiée sous les sunlights d’Hollywood et l’objectif des plus grands réalisateurs américains. »
Stanislas Bouvier, peintre des affiches du festival depuis 1991
… et la rétrospective d’une icône hollywoodienne
Après Audrey Hepburn en 2022 et Bette Davis en 2023, le Fema célèbre cette année encore une actrice iconique. Natalie Wood n’a jamais vieilli puisqu’elle n’a cessé d’incarner une jeunesse éternelle, rebelle, amoureuse, à la fois secrète et exaltée, à l’image de ses personnages dans La Prisonnière du désert de John Ford, au côté de James Dean dans La Fureur de vivre de Nicholas Ray ou de Warren Beatty dans La Fièvre dans le sang d’Elia Kazan. Vous pourrez aussi la revoir dans la fameuse comédie musicale West Side Story et la découvrir dans des films plus rares comme Une certaine rencontre et Daisy Clover de Robert Mulligan.
Une table ronde autour de l’actrice, animée par Séverine Danflous (écrivaine et critique) et en présence d’Axelle Ropert (cinéaste et critique), Antoine Sire (écrivain) et Lucas Aubry (critique), sera organisée en fin de festival.
Dès le mois de mai, vous la retrouverez en librairies à l’occasion de la publication du livre Natalie Wood : un jeu d’enfant de Lucas Aubry, édité par Capricci dans la collection Stories.
Rétrospective en collaboration avec Capricci Éditions, Ciné + et L’Avant-Scène Cinéma qui consacrera son numéro de juin à La Fièvre dans le sang.