Londres, dans les années 1880. Les opérettes du tandem Gilbert et Sullivan n’ont jamais connu d’échec jusqu’au jour où leur dernière création reçoit un accueil mitigé. Suite à ce coup dur, Gilbert se rend à une exposition sur la culture japonaise et c’est le flash. De retour chez lui, il écrit fiévreusement Mikado…
« Mike Leigh, en homme de théâtre, pénètre avec une justesse sensible dans les coulisses dépressives de toute création, fût-elle légère et populaire. Soutenu, comme à son habitude, par des comédiens hors pair, le réalisateur nous fait assister à la naissance chaotique, aux répétitions agitées et au triomphe prévisible de l’opérette Le Mikado. »
Danièle Heymann, Marianne, 4 décembre 2000