Victime il y a quelques années de la dictature militaire dans son pays, Paulina Escobar croit aujourd’hui reconnaître la voix et le rire de son tortionnaire dans l’homme venu raccompagner son mari tombé en panne en voiture, le docteur Roberto Miranda.
« La Jeune Fille et la Mort confirme le goût du cinéaste pour les huis clos tendus et violents où s’affrontent des personnages ambivalents, autour des thèmes du Mal, de la corruption et de la culpabilité. […] Une fois de plus Polanski se révèle un directeur d’actrices hors pair et offre à Sigourney Weaver l’un de ses meilleurs rôles. »
Olivier Père, arte.fr, 2 juin 2016