Le sénateur Stoddard débarque à Shinbone pour l’enterrement d’un certain Tom Doniphon. Pressé par un journaliste, Stoddard revient sur les événements qui firent sa carrière, des années auparavant, lorsqu’il tenta de débarrasser la ville d’un dangereux bandit, Liberty Valance…
« La perplexité de Ford vis-à-vis de la mythologie, qualité prophétique qui anticipait sur la perte de confiance du public envers le gouvernement, et son tableau de la brutalité de son pays font de L’Homme qui tua Liberty Valance le film américain le plus important des années soixante. »
Joseph McBride