1915. À la ferme du Paridier, les femmes ont pris la relève des hommes partis au front. Travaillant sans relâche, leur vie est rythmée entre dur labeur et attente du retour des hommes en permission. Quand Hortense, la doyenne, accepte de prendre une jeune fille de l’Assistance publique pour les aider, Francine croit avoir enfin trouvé une famille d’accueil.
« Le réalisateur des Hommes et des dieux est à l’aise dans ce monde terrien. […] Au fil des saisons et des années, Les Gardiennes nous fait habiter les paysages et les intérieurs rustiques, baignés dans les magnifiques lumières de Caroline Champetier, directrice de la photographie hors pair. Son art s’allie à celui des interprètes pour retrouver quelque chose des gestes et des émotions d’autrefois. »
Marie-Noëlle Tranchant, Le Figaro, 6 décembre 2017