Après un travail acharné durant sa courte carrière, une jeune danseuse touche enfin à la consécration. Mais brusquement malade et paralysée, elle se voit forcée de renoncer à son métier et à sa passion.
« Il s’agit, dans les deux cas [Avant de t’aimer et Faire face], de sujets sociaux (la situation des filles-mères, la rééducation des handicapés physiques) qui s’opposaient alors à la production hollywoodienne. Par ses sujets, par ses méthodes de tournage (décors naturels, temps réduit, petit budget, acteurs non vedettes) Ida Lupino innovait. »
Jacques Siclier, « Le cinéma féminin d’Ida Lupino », Les Cahiers de la Cinémathèque, n°28, mai 1979