En Bavière, vers 1830. Se croyant victime de superstitions et même d’une malédiction après la mort brutale de son épouse, le comte Zorn interdit à son fils et à sa fille de quitter le château. Il fait appel à un spécialiste en sciences occultes, ce qui ne manque pas d’effrayer les villageois alentour. Poussés par un prêtre fanatique, ces derniers ne tardent pas à tenter d’assiéger le château.
« Les Démons de l’esprit possède une belle mise en scène, et on apprécie que cette production de la Hammer soit filmée en extérieurs. […] Ce qui est étonnant dans ce genre de production, c’est que ça a l’audace de jouer l’horreur au premier degré – à la limite du grotesque – mais avec un savoir-faire très malin dans la réalisation. […] Un petit je-ne-sais-quoi tout à la fois fascinant et malsain. »
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