Au bord de la mer, un musicien déchaîne, sans le vouloir, une tempête qui emporte au loin une jeune pêcheuse de crevettes.
Grand Prix du festival d’Annecy 1965
« La Demoiselle et le Violoncelliste est un film à part. Modeste et superbement audacieux. D’une exquise délicatesse et d’une vigueur de primitif. Jean-François Laguionie est parti de Grimault pour rejoindre Émile Raynaud. Il a le goût de tisane d’un concerto de Lalo. Et la rondeur barbare d’une animation très simplifiée, progressant par volumes et par masses. Avec un graphisme et des couleurs inspirées, évidemment, du Douanier Rousseau. »
Jean Collet, Cahiers du cinéma, août 1965