« Adebar de Kubelka et Le Mépris de Godard proposent chacun une séquence dansée. Ces films décrivent un trajet amoureux et cinématographique déceptif, traitant sur différents modes la question de la rupture. Et c’est la notion d’opposition qui fonde Adebar: le noir et le blanc; le positif et le négatif; l’image fixe et l’image en mouvement; le corps féminin et le corps masculin. » Vincent Deville, « Discordances », Exploding #10 Danses/Cadences, juillet 2003
« L’exploit de Kubelka consiste à porter le montage soviétique un cran plus haut. Alors qu’Eisenstein filmait des scènes comme des unités de base et les montait de façon à créer du sens, Kubelka est allé jusqu’à l’image individuelle pour la considérer comme l’essence du septième art. » Fred Camper