La Prisonnière de bordeaux
Patricia Mazuy
Alma, seule dans sa grande maison en ville, et Mina, jeune mère dans une lointaine banlieu...
Le cinéma, c’est un monde où les affinités, les rencontres figurent parmi les paramètres les plus décisifs. En faisant la connaissance d’une ou d’un cinéaste, on rencontre d’abord un être humain, avec lequel il faut avoir en commun une attente, une vision, une compréhension. De là naît une éventuelle envie de collaboration, de partage. Personnellement, j’aime mettre mon ego de compositeur en veilleuse pour m’inviter dans l’univers d’un cinéaste. C’est une expérience passionnante, pas toujours évidente mais enrichissante. C’est vraiment la rencontre qui crée l’oeuvre. » Voilà les mots qu’utilise le compositeur trentenaire Amine Bouhafa pour résumer son approche de la musique pour l’image, dont il symbolise une nouvelle génération, on pourrait presque dire une nouvelle vague, surgie aux premières années du XXIe siècle.
Leçon avec le compositeur Amine Bouhafa, proposée par Stéphane Lerouge, en collaboration avec le Centre National de la Musique
Amine Bouhafa, compositeur, Régine Vial, Les Films du Losange, Patricia Mazuy, réalisatrice, La Prisonnière de Bordeaux © Fema - Philippe Lebruman — 02.07.2024
Stéphane Lerouge, spécialiste de la musique de film, et Amine Bouhafa, compositeur, Leçon de musique © Fema - Jean-Yves Julian — 02.07.2024
Stéphane Lerouge, spécialiste de la musique de film © Fema - Philippe Lebruman — 02.07.2024
Patricia Mazuy, réalisatrice, La Prisonnière de Bordeaux, Amine Bouhafa, compositeur, Stéphane Lerouge, spécialiste de la musique de film, Leçon de musique © Fema - Philippe Lebruman — 02.07.2024
Amine Bouhafa, compositeur © Fema - Philippe Lebruman — 02.07.2024
Amine Bouhafa, compositeur, Leçon de musique © Fema - Jean-Yves Julian — 02.07.2024