En 1793, Nicolas, qui a fait fortune au Nouveau-Monde après y avoir été exilé, revient en France pour divorcer. Il retrouve sa femme Charlotte dans le camp des royalistes où elle est aimée d’un marquis et courtisée par un prince. Les retrouvailles sont tumultueuses…
« Le rythme du film est étourdissant, jouant des rythmes divers de la poursuite, du ballet, de la bagarre, de la cavalcade, de l’amour. Foule qui déferle ou citoyen qui se carapate : Il y a toujours quelqu’un en train de galoper dans Les Mariés de l’An II. »
François Nourissier, L’Express, 12 avril 1971