Des visages inconnus perdus dans Vienne. Âmes en peine dans une grande ville morne et terne. Leur petit rayon de soleil ? Un chien, un cochon d’Inde, un lapin blanc… Des compagnons de longue date, témoins privilégiés d’un quotidien écrasant, des amis, voire plus si affinités !
« Un chien qui fait le beau, et son maître qui vient l’embrasser. Seidl filme sans détour la zoophilie envahissante d’une société de l’animal roi et de sa présence jetable. Car un toutou, c’est commode: on peut l’aimer, le battre, l’abandonner, le piquer, il ne proteste jamais contre la barbarie de l’homme moderne. »
Antoine de Baecque