Il y a trois ans, Suzy a été la maîtresse d’André, qui depuis, est décédé. Lorsqu’elle voit arriver Cécile, la femme d’André, elle se demande quelles sont ses véritables intentions. Est-elle venue en amie, ou animée par un désir de vengeance ?
« Ce qui fait la supériorité incontestable de La Vengeance d’une femme, c’est l’extraordinaire qualité du texte, écrit en collaboration avec Jean-François Goyet, l’intensité inouïe de l’affrontement des comédiennes, la beauté classique des séquences presque musicales, le rapport parfait de la lumière à la source invisible et du son qui alterne silence, cris et murmures. »
Daniel Toscan du Plantier, Le Figaro Magazine, 6 janvier 1990