Guy et Rosemary s’installent dans un vieil immeuble de New York. Leurs voisins, Roman et Minnie, subjuguent Guy mais sa femme semble s’en méfier. Après un étrange cauchemar, Rosemary s’aperçoit qu’elle est enceinte.
« Ce que nous affirmons simplement, c’est que Rosemary’s Baby est un des meilleurs films de mystère, d’angoisse et de terreur que nous ayons jamais vus. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, il nous paraît difficile de résister à son envoûtement. Car, s’il y a beaucoup de diable dans cette affaire, le plus diabolique de tous est encore Polanski. »
Jean de Baroncelli, Le Monde, 5 novembre 1968