Carol vit à Londres avec sa sœur Helen et travaille dans un institut de beauté. Elle supporte mal la présence des hommes. Après le départ en vacances de sa sœur, elle s’enferme dans l’appartement et se retrouve livrée à ses phobies.
« La causticité du Couteau dans l’eau laisse ici la place à l’angoisse. Plus fulgurant apparaît donc le combat qui oppose Catherine Deneuve à elle-même. Polanski dévoile alors ce corps qui se tord, ces mains qui se crispent et de l’étude clinique poussée à l’extrême jaillit soudainement la beauté. »
Bernard Cohn, Positif, février 1966