« Prisme de Stefani de Loppinot s’attaque au Mépris de Godard : à la faveur d’une anagramme duchampienne (prisme/mépris), les statues se remettent à bouger, les plans à tournoyer, la beauté se diffracte et recommence à irradier, le monument historique redevient cinétique. »
Nicole Brenez, Cinémas, automne 2002