À Moscou, Serguei, Slavska et Kolka sont des enfants de la guerre, les enfants de ceux qui sont morts au front. Mais leur maturité coïncide avec le dégel et leur inquiétude existentielle reflète à la fois l’atmosphère de liberté nouvelle et l’incertitude devant l’avenir. Le film a été censuré par Khrouchtchev.
Une version remaniée est sortie en 1964 sous le titre J’ai vingt ans.