Wladyslaw Szpilman, brillant pianiste juif polonais, échappe à la déportation. Contraint de vivre au cœur du ghetto de Varsovie, il parvient à s’échapper, à se réfugier et à survivre dans les ruines de la capitale.
« Les ruines de Varsovie reflètent l’émiettement de la psychologie du personnage ; Polanski ne s’attache plus qu’à dépeindre son dénuement intérieur. Tout se passe comme si, à travers l’histoire du pianiste, Polanski revenait sur ses traumatismes personnels fondateurs, et livrait la clé de tous ses meilleurs films. »
Olivier de Bruyn, Positif, juillet-août 2002