Mettre surtout en relief l’homosexualité masculine contenue dans le film, c’est privilégier un détail pour négliger de voir l’essentiel. Pour Wallace Potts, s’il est évident que le désir, comme l’amour, n’a pas de sexe, il a plusieurs expressions. More, More, More n’est pas l’apologie d’une forme particulière de sexualité ; c’est la force extraordinaire, dynamique, irrésistible de ce film.
More, More, More
Wallace Potts
16mm — couleurs — 1h30 — États-Unis — 1976