La gouvernante de Monsieur Abel, retraité, s’aperçoit de la fascination de celui-ci pour les jambes des femmes. Elle décide de lui procurer un cadavre aux jambes magnifiques…
« Autour de ce couple étrange, comme muré dans un univers galactique, Jacques Doillon invente une histoire crépusculaire d’amour et de mort. Une implacable liturgie funèbre, portée par une immense tendresse qui trouve d’étranges voies pour s’exprimer. Et éclairée d’un humour surréaliste. »
Alain Rémond, Télérama, 12 octobre 1983