Paris, de nos jours. Le colonel en retraite Raoul Duplan est assassiné à son domicile. Peu de temps après, un courrier anonyme parvient aux enquêteurs, stipulant que : « le colonel est mort à Saint-Arnaud ». L’armée et la police enquêtent sur ce meurtre étonnant d’un homme qui, en 1957, commandait une garnison dans l’est de l’Algérie…
« Cette escalade dans la violence accentue les déchirures intérieures du jeune Rossi, auquel Robinson Stévenin prête sa gravité tourmentée. Et toute de raideur contenue l’interprétation d’Olivier Gourmet décidément admirable, fait partager au spectateur la douleur tragique d’un choix impossible. »
Bruno Bouvet, La Croix, 15 novembre 2006