Lors d’une croisière, un jeune couple d’anglais fait la connaissance d’Oscar, un homme paralysé et de sa jeune épouse, Mimi. Oscar entreprend le récit de la grande passion de sa vie et de ses effets tragiques et autodestructeurs.
« Délirant, déviant, flirtant délibérément avec le dérisoire, Lunes de fiel s’expose à tous les coups et ne perd rien de son énergie. Polanski se moque de tout mais ne se trompe pas de carburant : il offre le film à ses comédiens qui s’y adonnent et, à leurs corps surexposés, donnent plus que du corps. »
Frédéric Strauss, Cahiers du cinéma, octobre 1992