Isadora

Karel Reisz

1968 — Grande-Bretagne — 35mm — couleurs (Technicolor) — 2h16 — vostf

Scénario Melvyn Bragg, Clive Exton, d’après les livres d’Isadora Duncan et Sewell Stokes Image Larry Pizer Montage Tom Priestley Décors Bryan Graves, Harry Cordwell, Jocelyn Herbert Musique Maurice Jarre Production Universal Pictures Source Universal (Paris) Interprétation

Vanessa Redgrave, John Fraser, James Fox, Jason Robards, Ivan Tchenko, Vladimir Leskova, Cynthia Harris, Bessie Love, Tony Vogel

Aidé par Roger, un ami fidèle, Isadora Ducan, vieillie physiquement mais encore avide de vivre, dicte ses mémoires. Au gré de ses souvenirs, elle évoque son premier show aux États-Unis, son arrivée à Londres, elle ne tarde pas à s’éprendre d’un metteur en scène, Craig, dont elle a une fille. Henri Singer est ensuite son protecteur, le père de son fils, Michaël. Cet homme riche, sûr de lui, ne parviendra pas à la retenir. En 1921, elle va diriger une école à Moscou, y rencontre Essénine. Elle l’épouse et part avec lui pour les États-Unis, Boston les hue. Isadora, lors d’une soirée, trouve enfin le beau jeune homme à la Bugatti qu’elle recherchait âprement. Le dynamisme de la vieille femme est tel qu’après avoir dansé avec elle, le jeune homme l’emmène en auto ; c’est l’accident fatal, l’écharpe se prend dans les roues, Isadora meurt étranglée.