Taki, une artiste de music-hall qui présente un spectacle de jeux d’eau, s’éprend d’un jeune homme timide, et lui paie ses études de Droit. Mais plus tard, elle est condamnée par un tribunal présidé par l’homme qu’elle a aimé et aidé à faire carrière. Ce mélodrame est basé sur les contradictions sociales et morales de la société japonaise des années 30.
Le Fil blanc de la cascade est déjà le 60e film de Mizoguchi, qui avait débuté en 1922, et le second muet conservé, après Furusato no uta (La Chanson du pays natal, 1925).