Nour est née à Beyrouth, ville qu’elle a quittée assez jeune. Elle y revient à l’automne 1996 pour régler quelques formalités et retrouver un photographe nommé Samir, qui a pris, avant la guerre, des photos de sa maison familiale. Une maison qui n’existe plus…
Le thème du passé, qui prend corps ici dans l’attention minutieuse portée aux lieux, est déjà au coeur du discours de ce film, et de l’oeuvre de la réalisatrice.