Jeanne dispose des clés de deux appartements, mais ne peut y loger comme bon lui semble. Natacha ne demande qu’à partager son appartement, qu’Igor, son père, déserte trop souvent. Les deux femmes se rencontrent.
« On retrouve dans ce premier opus des « Contes des quatre saisons » le plaisir d’un cinéma littéraire de moraliste, qui, sur un scénario très élaboré, filme des êtres menant un jeu intellectuel chauffé à blanc. Le plaisir d’une mise en scène accordée aux situations sociales, aux professions, à l’état des mœurs et à l’environnement. »
Jacques Siclier, Télérama, 1er septembre 2007