Sabine, étudiante, ne veut plus être la maîtresse de Simon. D’ailleurs, elle en a assez d’être cantonnée au rôle de maîtresse et décide de se marier. Avec qui, elle l’ignore : il s’agit avant tout de faire un beau mariage.
« Le Beau Mariage est bien une comédie mais une comédie étrange où l’on assiste – en toute connaissance de cause – à la préparation minutieuse d’un coup qui ne veut pas réussir. Il n’est si libre, le spectateur, que pour être tenté de croire à l’incroyable, d’aller contre ce qu’il voit sur l’écran. »
Serge Daney, Cahiers du cinéma, juillet-août 1982