Pour rendre service à un compatriote, un jeune français, vendeur de glaces à Barcelone, accepte de le cacher dans sa voiture. Ce dernier s’enfuit peu après. Il venait en fait de commettre un cambriolage…
« Loin d’être un film léger, enjoué et banal, Le Voleur de Tibidabo conjugue une série de thèmes et de préoccupations qu’on voit rarement réunis dans une première œuvre. Mais à la différence du coup d’essai d’un cinéaste débutant, le film de Maurice Ronet est l’aboutissement de huit ans de projets, de retouches successives et de rêveries. »
Henry Chapier, Combat, 12 février 1965