« Dans son rêve, une fillette comprend que le rossignol n’est pas un jouet et ne peut vivre en cage. Et si maintenant elle chante si bien, c’est parce que le rossignol auquel elle a rendu sa liberté lui prête sa voix en reconnaissance durant le jour et qu’il ne lance lui-même ses trilles que la nuit. »
Irène Starewitch
« Une fantaisie absolument délicieuse et d’un charme exquis. Impossible de découvrir le procédé qui permet d’obtenir des effets aussi surprenants et gracieux. Je ne puis que donner le Très Bien à cette bande de genre tout à fait nouveau et qui causera une fort agréable surprise au public. »
Hebdo-Film, 3 octobre 1923
Prix Hugo Riesenfeld du meilleur court métrage aux États-Unis en 1925