Utilisant une pellicule très granuleuse et une vitesse accélérèe, Hulse rend hommage aux films muets. Petit à petit, on réalise qu’il a subtilement manipulé certaines des images. C’est un objet surréaliste ou dadaïste qui prend vie avec la course d’un homme nu à travers des ruines, dansant seul dans différents paysages, en interaction avec le film même.
Take Me Home
Matt Hulse
Grande-Bretagne — 1997 — 6 min — vidéo — couleur