« Toi, tu es là l’être cherché, trouvé pendant quelques instants puis noyé, étouffé parmi les pavés gluants de la bienséance et de l’ordre… Seul le battement de ton rythme cardiaque te rappelle que tu existes… Tandis que loin dans ton cerveau retentit le bruit des bottes de la bête immonde… » (Philippe Schwing)
Les Nerveux Habitants des jolies collines alentours
Philippe Schwing
France — 1976 — 25 min — Coopérative des cinéastes