My Fair Lady

George Cukor

États-Unis — 1964 — 2h50 — fiction — couleur — vostf — version restaurée

Scénario Alan Jay Lerner, d’après la pièce Pygmalion de George Bernard Shaw Image Harry Stradling Sr. Son George Groves, Francis J. Scheid, Murray Spivack Musique & paroles Frederick Loewe, Alan Jay Lerner, André Previn Montage William H. Ziegler Production Warner Bros. Source Park Circus, Disney Interprétation

Audrey Hepburn, Rex Harrison, Stanley Holloway, Wilfrid Hyde-White, Gladys Cooper, Jeremy Brett

À Londres, en 1912, l’éminent linguiste Henry Higgins parie avec un ami qu’il parviendra à transformer en grande dame une petite marchande de fleurs à l’accent cockney, remarquée par hasard du côté de Covent Garden. Eliza, la jeune femme en question, se laisse approcher par cet universitaire autoritaire qui veut la débarrasser de ses manières populaires afin de lui donner un vernis mondain. À force de persévérance, elle finit par faire illusion dans les salons de la haute société. Et ce qui n’était au départ qu’un pari vulgaire se transforme en une tout autre histoire.

Meilleur Film, Meilleur Réalisateur, Rex Harrison Meilleur Acteur & 5 autres récompenses Golden Globes & Oscars 1965

« Le film est à la fois spectaculaire et dramatique mais, avant tout, une brillante comédie aux dialogues très enlevés […]. George Cukor se montre un grand maître dans ce passage des planches au grand écran […]. La réalisation est rendue encore plus époustouflante par les décors et costumes somptueux et élégants de Cecil Beaton. […] Audrey Hepburn [y est] éblouissante, notamment après sa transformation en lady. […] My Fair Lady est un beau spectacle et aussi une comédie de mœurs qui dresse un portrait assez féroce de la haute société londonienne. »

La Cinémathèque de Québec, « L’œil sur l’écran », 29 septembre 2009