Yumiko est hantée par la disparition de sa grand-mère, qu’elle n’a pas su retenir, et par le suicide de son premier mari. Avec son petit garçon, elle quitte sa ville et fait un long voyage pour tenter de refaire sa vie.
« La splendeur visuelle de Maborosi est liée tout d’abord à l’emploi frappant de la lumière comme véritable acteur de drame. Le réalisateur emploie en virtuose les sources d’éclairage naturel, et une poésie presque surnaturelle émerge de la confrontation entre la lumière, les corps et leur environnement. »
Yann Tobin, Positif, novembre 1999