En Iran, sous la dynastie Kadjar (xviiie siècle), au sein d’une famille appartenant à la noblesse locale. Quand décède la maîtresse de maison, un conflit éclate entre les membres de la famille autour de l’héritage de la Première Dame et de sa succession.
« Lors de l’avant-première au festival de Téhéran, […] la projection est sabotée : bobines montées en désordre, projecteur déréglé. Rien ne correspond au film d’origine. Pendant la séance, les critiques quittent la salle et les jurés retirent le film de la compétition. […] En 2015, par pur hasard, le cinéaste, désormais principalement documentariste, découvre chez un brocanteur une copie de son film considéré comme perdu. Il l’achète et la fait aussitôt restaurer. L’Échiquier du vent est ainsi redécouvert et, après quarante ans d’oubli, reconnu pour son esthétique influencée par la peinture, sa brillante mise en scène et son scénario aux nombreux rebondissements. »
Festival Lumière, octobre 2020