Peter de Wit, la cinquantaine, se réveille au beau milieu de la nuit et constate avec terreur qu’il se trouve dans la chambre froide d’une morgue. Comment est-il arrivé là ? Il ne s’en souvient pas, ne veut pas s’en souvenir… Sous l’identité d’un cadavre dont il a dérobé le portefeuille, il décide de prendre un nouveau départ, de s’inventer une nouvelle vie…
« Disons, pour aller vite, que ce premier long métrage d’une cinéaste venue des arts plastiques se situe dans la lignée d’un David Lynch ou d’une Teresa Villaverde. Martine Doyen nous invite à errer dans un monde léthargique, une zone floue entre l’hébétude et l’état engendré par une absorption de cognac ou de somnifères. »
Jean-Luc Douin, Le Monde, 23 mai 2007