Par la projection qu’opère chaque spectateur de son propre vécu, le film permet à chaque être, à chaque objet comme à chaque image et chaque son, d’être l’objet principal, le centre. Chacun détermine donc librement le sens du film. Ouverture vers la conscience, la reconnaissance, la création, c’est-à-dire la liberté. Que ce soit mon « living » n’a aucune importance, ç’aurait pu être le vôtre. Et il suffit d’écouter et vous entendrez de la musique, et il suffit de regarder et vous verrez des peintures.
Histoires de projections
Edith de Witt
Belgique — 1978 — 50 min