Fils de famille peu porté sur le travail, Harold est néanmoins doté d’un solide appétit. Chassé par son père, il devient serveur dans un restaurant…
« Jusque-là, tous les acteurs chargés de déclencher le rire étaient plus ou moins à l’écart de l’homme « normal ». Le geste d’Harold, s’habillant à la mode, est une victoire de la jeunesse sur les vieux crabes du music-hall. »
Raymond Borde, Harold Lloyd, Premier Plan, 1968